Serveur de temps NTP - DTS 4138

SNTP (Simple Network Time Protocol) et NTP (Network Time Protocol) décrivent exactement le même format de paquet réseau, les différences peuvent être trouvées dans la façon dont un système traite le contenu de ces paquets afin de synchroniser son heure. Il s'agit essentiellement de deux manières différentes de gérer la synchronisation de l'heure.

Alors qu'un serveur ou un client NTP complet atteint un niveau de précision très élevé et évite autant que possible les horodatages brusques en utilisant différentes méthodes mathématiques et statistiques et des ajustements de vitesse d'horloge en douceur, SNTP ne peut être qu'unecommended pour des applications simples, où les exigences de précision et de fiabilité ne sont pas trop exigeantes.

En ignorant les valeurs de dérive et en utilisant des méthodes simplifiées de réglage de l'horloge système (souvent un simple pas de temps), SNTP n'obtient qu'une synchronisation temporelle de faible qualité par rapport à une implémentation NTP complète. SNTP version 4 est défini dans RFC2030, où il se lit :

"C'est fortement recoa recommandé que SNTP ne soit utilisé qu'aux extrémités du sous-réseau de synchronisation. Les clients SNTP ne doivent fonctionner qu'aux extrémités (strate la plus élevée) du sous-réseau et dans des configurations où aucun client NTP ou SNTP ne dépend d'un autre client SNTP pour la synchronisation. Les serveurs SNTP ne doivent fonctionner qu'à la racine (strate 1) du sous-réseau et uniquement dans des configurations où aucune autre source de synchronisation autre qu'un service de temps radio ou modem fiable n'est disponible. Le plein degré de fiabilité normalement attendu des serveurs primaires n'est possible qu'en utilisant les sources redondantes, les divers chemins de sous-réseau et les algorithmes conçus d'une implémentation NTP complète.

Par conséquent, le terme « serveur de temps NTP » ou « client compatible NTP » peut – par définition – décrire un système avec un NTP entièrement mis en œuvre ainsi que tout autre produit qui utilise et comprend le protocole NTP mais atteint des niveaux de fiabilité, de précision et de Sécurité.

Il y a essentiellement deux façons de franchir le pas second en compte dans votre propre système informatique de temps. La première solution (DTS4160, DTS4210) est que le saut second est automatiquement lu via le récepteur GPS et le serveur de temps peut l'implémenter dans l'horodatage NTP qui est émis. L'arrière-plan de cet automatisme de l'appareil est que les opérateurs de satellites GPS prennent généralement en compte la spécification IERS en conséquence, ce qui est garanti par un préavis et le saut réel secoet lui-même. Ce n'est que sur la base des deux composants que les récepteurs GPS et les serveurs de temps peuvent traiter les sauts.econd correctement et exactement au bon moment et implémentez-le également en termes de technologie système.

Certains opérateurs d'infrastructures critiques, en revanche, préfèrent la procédure manuelle car il existe un certain risque résiduel en ce qui concerne la réception sécurisée à la fois des composants mentionnés ci-dessus et le saut second doit généralement être suivi séparément pour les autres systèmes informatiques de toute façon. Aussi, la définition de saut seconds n'est pas une procédure standard, de sorte que cela peut également parler d'un processus conscient, puis manuel, de la part de l'utilisateur. Avec cette solution alternative de réglage manuel, vous pouvez effectuer un réglage correspondant à temps avec nos appareils DTS, par exemple via MOBA NMS ou Telnet SSH, le serveur de temps DTS traitant ensuite en toute sécurité les sauts.econd et l'implémente en conséquence.

En règle générale, les clients NTP envoient un paquet de requête toutes les 64 seconds au plus. Avec un code d'appareil de 100 "requêtes par second », 6,400 4160 clients NTP pourraient déjà être synchronisés sur le réseau. Par exemple, si vous utilisez le serveur de temps DTS 10,000 avec XNUMX XNUMX « requêtes par second », il y a même 640,000 16 clients qui pourraient être synchronisés avec ce type de serveur de temps dans le réseau. Étant donné que les versions NTP les plus récentes augmentent l'intervalle d'interrogation d'un facteur XNUMX avec une synchronisation temporelle stable, cela se traduit par un nombre encore plus grand de terminaux NTP possibles. Il faut donc tenir compte de ce fait lors de la sélection de la spécification de l'appareil qui est vraiment nécessaire pour le besoin spécifique. Pour les réseaux plus importants, il est également courant que des structures de serveur de temps hiérarchiques – constituées de plusieurs segments ou niveaux de réseau, chacun avec un serveur de temps attribué – soient créées. De cette manière, les serveurs de temps du niveau inférieur se synchronisent toujours au niveau supérieur jusqu'au serveur de temps central. Ce serveur de temps central possède généralement les fonctionnalités les plus performantes et est souvent redondant.

Le dépannage possible peut se dérouler comme suit :

• Le pare-feu ou le filtre de port bloque les packages NTP.
• Assurez-vous que les paramètres du pare-feu dans Windows activent le protocole UDP dans les deux sens (entrant/sortant) sur le port 123.
• Certaines versions de w32time fournies avec Windows XP ou Windows Server 2003 peuvent être incapables de demander l'heure à partir des serveurs NTP.
• Une solution de contournement pour le recoLe problème posé est de changer le comportement du w32time.

Si une connexion Internet fonctionne correctement, NTP peut déterminer et prendre en compte les retards de transmission de paquets de manière assez fiable. Cependant, si la connexion Internet est à sa limite de capacité, la synchronisation temporelle peut être considérablement dégradée en raison de la forte dispersion des délais de transmission des paquets. Les raisons peuvent être des attaques de pirates informatiques, qui ne doivent pas s'adresser à votre propre réseau, ou de nouveaux virus provoquant un énorme flot d'e-mails, comme cela s'est déjà produit dans le passé. Un propre serveur NTP ne peut pas être facilement compromis sur Internet.